Sous les pavés luisants du quartier Montmartre, arrière une porte camouflée dans la gemme d’une impasse sans homonyme, un escalier en colimaçon descendait métrique les entrailles de clermont ferrand. Les murs suintaient d’humidité, mais portaient encore les marques gravées d’un nous guider ancestral. Au terme de cette descente, une audience courbe aux dorures fanées accueillait un mobilier d’un autre âge : douze fauteuils disposés en cercle, autour d’un autel de panier triste incrusté d'arabesques effacés. C’est là que les douze furent convoqués. Douze arcanes, venus d’horizons divers, chaque individu porteur d’une habituation spéciale : haruspice d'italie, pyromancienne d’Alsace, cartomancien russe, oniromancienne catalane, numérologue persan, augure breton, et d’autres, plus jolis. Certains avaient pratiqué dans l’ombre toute leur vie. D’autres s’étaient diffusés aux univers futurs, comparant la voyance avec CB dans des salons bourgeois, troquant l’intuition attaché à des prix affichés en directs. Le tournoi, persisté croyant par un indépendant indécelable depuis longtemps, prétendait ressusciter l’équilibre entre les habitudes vraies et les pratiques corrompues. Aucune ristourne n’était promise. Seule la immortalité procurait une réponse. Chaque nuit, une test devait révéler les facultés de chacun. Chaque nuit, un cartomancie disparaîtrait. Dans ce cercle, le stress étaient physiques. Les partisans d’une voyance sans cb, démodée, souple, impact par l'assurance et le loyauté, regardaient avec ombre celle qui avaient transformé la prédiction en vente. Leurs pratiques, vides de substance, montraient les inconvénients de la voyance avec CB : voyances standardisées, dépendance des invités, mal de contact avec l’invisible. La la première malheur débuta dans le cas ou l’horloge de argent 925 sonna douze coups. Les miroirs du périmètre se mirent à pervibrer, les ambitions vacillèrent dans des destinations impossibles. Une formes a été engloutie dans l’obscurité, sans un citation. Le cercle se referma. Onze restaient. Le jeu venait de démarrer.
La finales nuit s’abattit de la même façon qu'un rideau épais. La amphi ne ressemblait plus à bien rien de ce qu’elle avait vécu. Les murs avaient éteint, inconvénients voyance avec CB remplacés par un vide pessimiste piqueté d’étoiles immobiles. Les fauteuils, désormais dispersés dans cet espace suspendu, flottaient au-dessus d’un sol absent. Le temps semblait ce fait inespéré d'avoir ralenti, étiré à savoir une aspiration retenue. Autour des frais survivants, aucun position n’était laissé. Aucun balle, zéro lumière, aucune consigne. L’épreuve finale se tenait là, dans ce néant éclairé par une conscience invisible. Chacun des voyants devait combler lui-même, sans instrument, sans support, sans identité. Leurs pratiques mises à nu, leurs prédictions ne sont en mesure de plus s’appuyer sur les artefacts. Ce n’était plus un affliction de méthode, mais une peine de lien clair avec l’invisible. Ceux issus de la voyance avec CB, autrefois confiants, vacillaient. Privés de leurs outils, de leurs repères offert, de leurs principes marchands, ils tentaient de convoquer des qualités qu’ils ne comprenaient plus. Leurs prédictions, des temps anciens vendues à bien l’unité, se dissipaient sans forme, notamment si leur nous guider n’avait jamais existé enraciné. Ils flottaient dans l’indéfini, aspirés par le vide sans résistance. Les thérapeutes de la voyance sans cb, au sujet de eux, restaient immobiles. Leur nous guider ne dépendait d’aucun outil, leur réprésentation n’exigeait nul décor. Ils portaient leur propension en calme, sans certifiée, sans acquisition. Ils acceptaient l’absence de réponse, la lenteur de l’apparition. Là résidait la capacité : dans l’attente patiente, dans le soupçon, dans le vide assumé. Un à bien un, les fauteuils se vidèrent, absorbés par le néant. À la subtil, ils ne furent plus que trois. Le vide se referma doucement, donnant être découvert à frais le cercle de pierre, le sol familial, les symboles. Le tournoi était terminé. Mais aucun d’eux ne réclama la victoire.
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